 | Pour
rejoindre Tuléar à Anakao, soit on prend la voiture : 6-7 h de piste,
soit on prend la bateau rapide : un peu plus d'une heure. Et pour aller
sur le bateau, on emprunte les charettes à zébus. |
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 | Bien sûr on peut aussi traverser à la pirogue à voile, mais c'est un peu plus long ! |
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 | On va vite et on s'en prend plein la figure ! |
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 | A peine arrivés on se met à l'eau dans ce grand lagon (la barrière est à 8 km de la plage). |
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 | Un aloès fleuri. |
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 | Il n'y a pas de source d'eau ici, à part la mer et un étang d'eau saumâtre... l'eau arrive par bidons. |
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 | Et pour la douche ? Au seau bien sûr... |
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 | Dans ce coffre, l'eau chauffe au soleil. |
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 | A table, poissons et langoustes... |
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 | Au matin du 17/08, au loin Nosy Ve (qui est toujours dans le lagon) où nous irons passer un moment de la journée. |
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 | Auparavant, nous approchons quelques baleines (5 ou 6). |
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 | Su Nosy Ve, de nombreux paille-en-queues. |
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 | On mange du poisson frais ! |
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 | Il y a ici de nombreux nids. |
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partie 2 | Dans l'après-midi, le vent se lève, on rentrera trempés ! |
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 | On poursuit le voyage... et d'un seul coup une valise tombe, puis la deuxième... Il faut dire que ça secoue fort !
Et puis ça fait marre le chauffeur, pourtant la capot en a pris un coup.
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 | Dans
l'hôtel d'Ambola, un lémurien semi-domestique squatte... il griffera
Céiane (suite à une mauvaise manip' d'une femme de ménage) et mordra
Emilien (qui voulait l'empêcher de boire dans son verre !)... Du coup
quelques injections antirabiques à la rentrée. |
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 | Des aigrettes. |
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 | Dans
ce parc, un grand lac (plus de 20 km de long) et très peu profond
(moins de 2m en saison des pluies). Un paradis pour les flamants roses. |
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 | Les gens se servent de cette plante pour fabriquer des pièges à rats (gare de ne pas s'y piquer, les harpons tiennent bon !). |
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 | Le poisson endémique de cette grotte est aveugle. |
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 | Un coua. |
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 | Voilà le plus vieux baobab connu de Mada : 3000 ans ! Avec Ludo et Stéf qui nous ont rejoints après Tuléar.
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 | Quelques perroquets chantent et nous observent. |
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 | Un
banyan énorme et millénaire donne l'impression qu'il y a plusieurs
arbres... mais il ne s'agit bel et bien que d'un seul arbre. Par
ailleurs certaines de ses racines descendent vers un petit lac situé à
25m en contrebas. Féérique. |
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 | Sur
cette paroi abrupte, des lémuriens passent les nuits en toute sécurité
(il ne s'agit pas de faire un cauchemar et de bouger en dormant)
le fosa ne pouvant aller les croquer. |
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 | Sur cette plage (près d'Itampolo), la barrière est à 500 m de la plage. |
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 | 19/08.
Deuxième sortie en mer à la recherche de baleines... et nous nous
retrouvons au milieu d'une colonie de peut-être 40 ou 50 dauphins ! |
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 | Ils nagent et sautent autour du bateau, fantastique ! |
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 | J'ai eu du mal à prendre en photo les pirouettes, ils sont rapides ! |
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 | Bon, on continue ? |
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C |
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 | C'est le geyser qui permet de les repérer rapidement, et lorsqu'elles sautent.
On a vu à partir de cet endroit là des baleines sur toute la cote sud à chaque arrêt. |
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 | Du "land art" au coucher du soleil ! |
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 | Depuis la plage, on voit les baleines passer... certaines sautent ou comme ici "jouent" à taper dans l'eau avec une nageoire. |
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 | Un grand colibri. |
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 | Un coucou. |
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 | Balade dans les dunes... sympa cette vue... |
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 | On continue la piste. |
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 | Que de cactus dans cette région très sèche. |
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 | Des didiéracées. |
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 | Petit
tour dans le village voisin où les enfants ne nous ont pas lâchés... Et
d'ailleurs 2 filles se sont planquées et nous ont piqué un maillot de
bain dès qu'on s'est absenté pour le repas !! On les a vues partir en
courant. |
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Nous avons essayé d'équilibrer les moments visite et repos avec les moments déplacements... la piste étant souventtrès mauvaise.
Il n'y pas non plus de panneau, et les chauffeurs ont du faire demi-tour et demander à plusieurs reprises.
Nous quittons Bevoalavo et poursuivons encore plus vers le sud, partie 3.
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