Février 2005 sur le bahia 46 dans les Caraïbes.

Mise à jour, le 28/3/5.


Je me dis que pour changer je vais préparer le texte avant les photos...
Car le souci de ne faire que des commentaires c'est qu'il y a des choses dont on ne parle pas... celles qui ne sont pas sur les photos, et comme on a eu un souci avec l'APN justement.
Rappel, l'an dernier nous avions passé passé une semaine de soleil à Punta Cana, où le plus dur était de ne rien faire. Il y avait eu du golf, de la gym en salle, de la farniente sur la plage, des baignades et de la bonne nourriture locale, y compris la pina colada. Sans oublier l'excursion à Samana où on a vu des baleines. Le plus chouette avait été la plongée sur la barrière qui m'a fait rêver longtemps... au point que nous nous sommes équipés pour nager dès avril en bretagne où j'ai joué avec une seiche dans de l'eau à 10°C...
Nous avions ramené 3 bouteilles de rhum avec une consigne : "dès qu'elles sont finies, on y retourne". Et si possible, avec les enfants.
Notre budget étant restreint, partir avec les enfants est complètement exclu... et partir tout court pas franchement raisonnable non plus, alors on décide de tenter le prix le plus bas en n'achetant le voyage que quelques jours avant le départ.
Samedi 12, 1er jour de nos vacances de février, et après avoir épluché les sites discounts du net, avec peu d'espoir (tout apparaissait complet), nous appelons Switch (partirpascher.com). Une standardiste nous parle alors d'une croisière... il reste deux places pour le dimanche ou pour le lundi.
Ca dépasse un peu le budget prévu mais c'est quelque chose que j'avais déjà vu et qui me paraissait sympa... on discute 3-4 minutes avec Carole et ok, on y va ! En plus on paie un peu moins cher (économies de 300 euros à nous deux).

On vous emmène ? Pour cela il faut un prérequis... Sur le bateau, nous avions de la musique du matin au soir. Du merengue, du bachata, mais aussi des chansons des années 80 (slows de Withney Houston, George Michael) voire des atemporelles chansons de reggae...
Commencez donc par télécharger les MP3 qui sont là et on y va...

Suivez le guide :
lundi 14, pour la St-Valentin, offrez un voyage aux Caraïbes à votre femme...
TGV, arrivée à l'aréoport vers 12h pour apprendre que l'avion est retardé, il devrait décoller vers 19h40 (au lieu de 16h). Finalement on ne décollera que vers 21 h :-(
Nous voilà en RD, il est 1h du mat' de mardi. Quelques minutes de bus et on se retrouve pieds nus, pantalon remonté pour prendre une barque qui nous mène à bord du Bahia 46, un catamaran de 15m de long, plutôt confortable comme vous le découvrirez au fil des photos...
Faire une croisière est-ce que ça vaut le coup ? Je suis sûr que parmi vous certains se disent que c'est pénible, on parle d'un croisière sur un petit voilier, pas sur un paquebot hein. Alors tout dépend de ce qu'on veut faire, si on recherche le confort avant tout, euh, faut passer le chemin. Mais en même temps sachant qu'on est à bord d'un voilier avoir une cabine double avec cuvette et douche individuelles, avoir une carré confortable à l'intérieur, avoir un carré à l'extérieur et pouvoir marcher sur le pont à son aise, c'est vraiment pas mal !

Le fait que le voilier soit un catamaran le rend stable, et on est dans la mer des Caraïbes, il ne s'agit pas de traverser l'Atlantique. Lors d'une de nos navigations je n'étais pas trop à l'aise, ça tanguait pas mal, et d'ailleurs presque tout le monde sur le bateau était couché ! Personne n'a été malade pour autant.
Je dirais que c'est maintenant que je le suis (j'écris ce texte le lendemain de notre retour à la maison), malade, j'ai la tête qui tourne. Ca fait comme si j'étais encore sur le bateau. Toutefois, je suis parti avec un mal d'oreille, j'ai plongé tous les jours (sauf une fois) à plusieurs reprises et peut-être que ça n'arrange rien.
Alors j'en reviens au fil, le risque qu'on prend pour une telle croisière c'est par rapport aux autres vacanciers ! Il y avait deux cata. un de 25m, très luxueux, emportant 16 touristes et un de 15m, pour 8 touristes. Les deux font la croisière ensemble (question de sécurité parait-il). Nous n'avons cotoyé les personnes du grand cata qu'à peu d'occasions... et c'était très bien comme ça !
Avant de partir, on s'est dit, pourvu qu'on ne tombe pas avec des gens qui veulent faire la fête, qui se couchent tard et qui du coup n'aient pas du tout le même rythme que nous (car nous pensions bien avoir à peu près le même que l'an dernier soit du 6h - 21h30 en gros). De même nous ne voulions pas tomber avec un groupe ayant des enfants. Ne pas emmener les siens et se retrouver avec ceux des autres... hé ho, on est en vacances !
Nous nous sommes retrouvés sur le bahia, vers 2h avec la famille Hello, Yann (ingénieur chez Airbus), Cécile (Psycho-motricienne), Inès (3ème), Luc (6ème) et Anouk (CM2), plus, avachés à l'intérieur (ça faisait un bout de temps qu'ils nous attendaient aussi) Johnny (le skipper : el capitano), Tania (la cuisinière) et David (apprenti skipper). On attend le représentant de Switch qui commence par l'autre bateau... il est très long mais on n'a pas le choix, il faut lui régler les frais de mouillage, d'entretien, de pots-de-vin, et aussi le pack excursions, le tout en liquide si possible (on n'a pas prévu assez de liquide, ce sera en carte)
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Heureusement les enfants Hello sont grands, sympas et très matures, nous nous entendons bien et sommes très contents d'avoir passés cette croisière en leur compagnie. Par ailleurs, nous nous retrouvons tous sur ce bateau avec la même envie de plonger (ils ont aussi emmené leur matériel). A l'inverse, sur l'autre bateau, parmi les 23 touristes, on ne verra qu'une personne plonger. Quelle tristesse, bon d'accord on n'est pas obligé d'aller sous l'eau pour apprécier le paysage, la couleur de l'eau, la nourriture locale, le dépaysement. Mais quand même quand je pense à la richesse sous-marine... j'en reparlerai plus loin :-)
Bien sûr dans cette formule on a le même luxe qu'à l'hôtel, boissons à volonté, le rhum a coulé (avec raison en ce qui nous concerne), et cela a commencé dès notre arrivée à bord. Une cuisinière s'occupe de tous les repas, place et dessert la table.
3h30, on se couche enfin... on n'est pas très fatigué, mais on sait que si on veut bien profiter de la première journée il faut dormir... Et bien le pompon, c'est qu'on n'a pas réussi... dans le prolongement de notre cabine, il y avait celle du capitaine... qui s'est mis à ronfler comme je ne croyas pas que c'est possible. Une horreur. Le lendemain nous lui en avons parlé et a accepté de dormir ailleurs (plus près des enfants, qui une fois endormis font le tour du cadran).

A partir de là, je pense que je vais pouvoir reprendre les photos et les commenter, mais il faut avant que je précise encore des petites choses... J'ai acheté une pochette étanche pour y insérer l'APN et pouvoir prendre des photos sous l'eau. Donc pas d'appareil jetable étanche, pas la peine.
Dès le mardi matin, 6h45 (avant le lever du soleil), je me mets dans l'eau juste comme ça, puis je me dis, il faut le masque, et là surprise, au mouillage (au port donc), il y a déjà un spectacle très sympa, des poissons colorés et même un poulpe ! Vite l'APN ! Je monte le chercher, pendant ce temps tout le monde (je ne parle que de la famille Hello et de nous deux, considérant qu'on a vraiment fait une croisière différente des touristes du grand cata) se met à l'eau, dont Yann qui est un pêcheur et qui fait rentrer le poulpe dans sa cachette. Tant pis pour la photo. En tout cas les photos sont correctes et prometteuses, me dis-je. Après une heure de navigation , on se retrouve sur un site de plongée. Je décide alors d'optimiser les photos en calant l'APN dans la pochette pour avoir mis la paroie parallèle à l'objectif. Je ferme le sac et j'éteinds l'APN, mais celui-ci refuse de le faire. J'insiste... trop tard. Je sors l'APN du sac, rien à faire, l'APN est KO :-( Comme le sac est parfaitement étanche, en voulant fermer l'appareil, l'objectif n'a pu se retracter, et le moteur en a pris un sacré coup... En le forçant pendant deux jours, Carole (moi j'étais frustré) a réussi à le débloquer d'abord sans pouvoir utiliser le zoom, puis complètement. Du coup, il nous manque quelques photos. Dans notre malheur, Yann et Cécile avaient deux appareils étanches et nous en ont proposé un (il leur a juste fallu 3 jours pour le retrouver, mais j'ai quand même pu prendre des photos les deux derniers jours - c'est par là).

Voilà donc des animaux qu'on a vus mais dont on n'a pas de photo : des poissons volants (impressionnant, le poisson de 30-40 cm sort de l'eau et vole sur une grande distance avant de plonger à tel point qu'au départ je croyais voir des oiseaux ! Remarque : en réalité ces poissons, des exocets, ne volent pas, mais planent à l'aide de 2 nageoires, à plus de 65 km/h sur une distance pouvant atteindre 200 m pour échapper aux thons ou aux dauphins), un requin baleine (il est passé juste à côté de la coque babord, je n'ai eu le temps de voir qu'une grosse masse, à cet endroit, il y avait 50 m de fond à peu près), deux poulpes, un gros poisson de près de 2 m je pense (il se baladait tranquillement à 5 m de fond dans un endroit divin qu'on a appelé "les piliers"), des seiches (tout d'abord 2 seiches qui nageaient tranquillement, puis un banc de seiches, j'en ai compté 97, toujours aux "piliers". On a un doûte sur ces seiches, était-ce des calmars ? Je ne le crois pas les ayant vues changer de couleurs...) et des coraux de différentes tailles, formes et couleurs, ainsi que des variétés fantastiques de poissons dont un vu à plusieurs reprises, noir avec des paillettes bleues (c'est le yellowtail damselfish).

Je fais une petite pause et on y retourne, je lève le nez des photos et je vois la neige tomber par la fenêtre, brrr. Le contraste :

Les photos prises sous l'eau sont développées et scannérisées... c'est par là !

 

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On commence par ce panorama très sympathique de Catalenita, ensuite on suivra l'ordre chronologique...

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Lundi 14/2. 19h40, on embarque enfin !
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Au revoir Paris !
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Bonjour La Romana !
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2h du mat', déjà sur la plage... on attend la barque pour aller sur le catamaran.
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6h30, le soleil ne va pas tarder... la journée s'annonce un peu rude, on n'a pas dormi (dans la cabine voisine, el capitano ronflait très fort !), mais qu'importe !
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Cabine spacieuse.
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Le soleil n'est pas encore levé, et l'eau est bonne (peut-être 22°C).
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Ca fait du bien.
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Les nuages rougissent.
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Les premiers rayons arrivent. Voilà le grand cata. Encore plus luxueux que le notre, mais bonjour les personnnes à bord. (le fameux risque il est là).
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Super, une frégate nous souhaite la bienvenue.
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En avant les couleurs.
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On devine La Romana au loin et son usine à sucre, repère facile.
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Première photo sous l'eau.
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Le centre est net. Et le souci c'est donc quand le sujet est au bord... on ne le voit pas. J'ai retouché la photo qui était un peu trop verte.
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Le zoom ne fonctionne pas à travers la pochette, il faudra penser à se rapprocher (notez que je parle déjà de l'année prochaine !). On distingue un lézard.
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Normalement c'est un poisson jaune... faut vraiment prendre les photos à moins d'un mètre !
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Et c'est parti pour quelques jours de navigation. Pas plus d'une heure trente par jour nous a dit Alex, le représentant Switch... Ce ne sera pas son seul "mensonge" !
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On peut se mettre sur le côté...
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ou devant.
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Le casa del mar.
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Si possible, on navigue à la voile, sans les moteurs.
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Le carré intérieur.
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El capitano, Johnny.
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On commence à l'ombre, il ne s'agit pas de ne pas pouvoir dormir encore ce soir.
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En moins d'une heure, on a déjà fait un beau trajet.
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La carré extérieur, où on mange.
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On est en route pour une deuxième île : Saona. On a mangé et juste avant avons passé une heure parmi les poissons. Quel bonheur de retrouver ce qu'on avait vu l'an dernier. Et dès cette première plongée, on a vu plus de poissons... dommage qu'il n'y ait pas de photos...
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Voici la cote de Saona. On arrive quand le plus gros des touristes est parti. En effet ceux qui sont à l'hôtel ne viennent là qu'à la journée (pas d'hôtel sur Saona), par conséquent nous nous retrouvons les seuls touristes à arpenter les plages. Un gros avantage de cette croisière !
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Le ciel est un peu chargé pour cette première journée et on supporte le sweat (surtout pendant la navigation).
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Le grand cata.
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Pas de zoom, mais je vous garantis qu'à part quelques autochtones, il n'y a personne !
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On n'a pas croisé beaucoup de bateaux d'ailleurs, à part les barques très rapides qui amènent des paquets de touristes à la journée (comme pour l'excursion aux baleines qu'on avait faite l'an dernier).
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On est tout seul :-)
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Et on peut profiter des installations (moyennant discussion du capitaine et du responsable de la plage - en général il suffit d'une ou deux bouteilles de rhum).
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Je prends des risques pour la photo... la plupart des oursins qu'on a vu ont de longues épines noires... mais parfois, elles sont blanches, sur le sable au bord de l'eau !
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Petite précision, Carole croit que je ne vais pas toucher à l'APN du séjour (souvenez-vous, il faut tirer sur l'objectif pour le mettre en route, et encore ça ne marche pas à chaque coup !), alors elle se prend elle-même. Pour prouver qu'elle y était :-)
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Décors de rêve.
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C'est sur ces rochers où il ne fait pas bon marcher pieds nus qu'on a vu de nombreux crabes.
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Un pélican.
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Mercredi matin, on se lève avant le soleil (je me suis baigné avant chaque lever de soleil sauf le vendredi).
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Le cabinet de toilette. Sur ce bateau, on a une réserve d'eau pour la semaine pour tout faire (douches et cuisine) il faut donc rationner. On a le droit à une douche rapide par jour par personne. Notre pomme de douche déconnait un peu et ça n'a pas été difficile de faire vite !
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Petit-déj' devant Saona.
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Petite balade au sud de l'ïle.
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Ce grand plan d'eau douce est un marécage. Nous n'y avons pas vu grand-chose.
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Notre cata est mouillé là-bas... Ah si, j'oubliais, il y avait là sur cette plage une photo de rêve à faire... Je croyais qu'on y reviendrait, zut. Une eau turquoise incroyable, sur une plage sauvage...
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Une maison de location.
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Visite d'un deux villages de pêcheurs de l'ïle (une centaine d'habitants à chaque).
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Des ânes.
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Un cochon.
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Partout où on a été (sauf l'hôtel), on pouvait voir des détritus jonchés sur le bord des chemins, au milieu des terrains vagues...
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Quelques boutiques de souvenirs (beaucoup de tableaux).
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Comme oiseaux, on a vu beaucoup de frégates, de hérons, des grands, sombres et des petits blancs, des petits magnifiques dont j'essaierai de trouver le nom, il y a une photo plus loin, l'oiseau emblême national, et quelques buses.
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Ce poisson qu'on a appelé entre nous le poisson patchwork (trunkfish) est l'un de ceux qu'on approche facilement sous l'eau. Celui sur cette photo est plus petit que ceux qu'on voyait sous l'eau et a été assez couillon pour je le pousse sur le plage (je l'ai ensuite remis dans l'eau bien sûr).
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On voit bien ici sa section triangulaire.
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Je me décide à reprendre l'APN pour photographier un coucher de soleil.
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L'annexe du cata.
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Cette photo, c'est pour montrer où on dort, on mouille à 800 m du bord peut-être.
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David a fait le pitre dans l'eau avec les enfants, sa douche à lui est là !
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Cette partie de l'île fait partie du parc Del Este.
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Anouk sort la tête de sa cabine.
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Luc prend le soleil qui se couche.
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Jeudi, 7h.
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Les couleurs !
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On ne loupe rien des spectacles qui s'offrent à nous.
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On change d'endroit, mais on reste sur Saona.
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Pour prendre un crabe sans le zoom, il faut le trouver mort. Ils sont très rapides. Même les tout-petits qui creusent un trou dans le sable pour s'y cacher.
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On se balade sur les rochers.
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L'eau est turquoise, transparente...
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On rentre par un petit chemin intérieur.
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On y découvre des cactus.
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Du coton.
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Et on va en ramener !
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Retour vers les habitations.
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Voici les fameux "piliers". Il s'agit d'une construction inachevée (comme tant de maisons en RD) d'un ponton. Il y a au bout du ponton environ 5 m de fond et on voit le fond très clairement. En nageant dans ses piliers, on a l'impression d'être dans un aquarium. C'est pour moi le plus beau site qu'on ait fait même si j'ai eu mal aux oreilles et n'ai pas réussi à toucher le fond ici. Non loin, il y avait aussi une épave, et c'est là aussi qu'on a vu les premières étoiles de mer. David est même descendu (sans problème et sans masque) nous en chercher pour nous les montrer.
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Quand on est arrivé à la plage, on nous attendait, tout le monde était déjà à bord. C'est un peu un problème qu'on a eu tout le long de cette croisière. On ne gérait pas le temps, pire, on ne nous prévenait qu'au dernier moment. Il fallait donc parfois se hâter de préparer le sac...
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A gauche la RD, à droite Saona, devant le canal (nom ?) et au bout Catalenita, juste derrière, l'Atlantique.
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Inès et Yann.
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Anouk, Cécile et Carole.
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Et un service impeccable... C'est l'heure de l'apéro, Davis propose rhum et ce qu'on veut dedans...
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Enfin, Inès n'a pas de rhum quand même.
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Un banc de sable, et une eau turquoise, au milieu de nulle part. Parfois on s'est retrouvé à plusieurs centaines de mètres du bord, et il n'y avait que 2 ou 3 m de fond !
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Salute.
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Ca discute pêche !
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Voilà une de ces barques rapides. Certaines ont deux moteurs de 200 CV !
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Je montre ici une des plus petites étoiles de mer trouvées. Toutes celles que j'ai vues avaient cette forme, mais les couleurs variaient.
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El capitano et son "screw".
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Entrée de la mangrove, qui a été, il faut bien le dire décevante. Végétation assez pauvre et ni tortue, ni requin nourrice...
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Par contre on y a vu des centaines de frégates et leur nidifaction.
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La parade du mâle qui s'impose avec un magnifique jabot.
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Sacrée "chevelure" !
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Dans cette eau apparemment calme, grouillaient des milliers de méduses pas plus grosses que le poing, mais très urticante (parait-il) et la plupart restent posées sur le fond (très peu de fond d'ailleurs, il ne faut pas tomber !)
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Nous étions sur une pirogue "traditionnelle" telle celle-ci, avec un moteur silencieux (électrique) pour approcher les oiseaux sans les déranger.
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De retour au cata, (en plein milieu du canal !) avec Yann, nous avons rejoint David et avons pêché par 2,5 m de fond des dizaines de lambis (tel http://ggphoto2.free.fr/sept03/Lambi/slides/DSC01086.html), qu'on reverra plus tard ;-)
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Nouveau coucher de soleil, avec Johnny, heureux de poser.
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Et voilà... David a été sur l'autre cata pour extraire les lambis des coquillages (à la machette, il casse le haut du lambi et avec un couteau il coupe un nerf qui détache le lambi). Derrière, on voit Tania, notre sympathique cuisinière.
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A chaque repas, on peut boire du vin rouge ou blanc, plutôt bons.
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Vendredi 18, une nouvelle journée démarre. Ce matin, je décide d'attendre le groupe pour me baigner, car il est prévu une excursion jeep, et si on ne se baigne pas avant, cela risque d'être juste le soir... Ca n'a pas loupé, on n'a finalement pas eu le temps, ni le matin, ni au retour :-(
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Cette grosse moule a été ramassée par Yann la veille... Il s'agit en réalité d'un corail qui ne se trouve qu'à grande profondeur et qu'on ne peut que voir que si un fort courant le détache.
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Deux moteurs, une sonde, un pilote automatique... joli bateau.
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Oui, oui, c'est bien ça !! Une baleine ! On a eu 3 h de navigation ce matin, et outre les poissons volants, on a pu voir cette baleine (qui a sorti sa queue, une nageoire codale - j'ai encore raté les photos, grrr) ainsi que la silhouette d'un requin baleine qui est passé juste à côté du voilier.
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Nous voici dans les terres, à bord de gros 4x4.
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Au programme, découverte de la canne à sucre. Au premier plan, des jeunes pousses et derrières, de la canne prête à être coupée.
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On s'est arrêté à côté d'une école (pour Haïtiens, dont les parents -sans-papier- travaillent à la canne), là c'est une haie de cactus.
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Une des jeeps.
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Ce sont des Haïtiens qui viennent couper la canne à la machette. Le travail à la main constitue 85% de la récolte. Les Haïtiens n'ont pas de papier et sont tolérés ici pour deux mois. Ils touchent 5 dollars par jour puis doivent repartir dans leur pays (sur la même île que la RD).
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La canne met 6 mois à pousser avant d'être coupée, puis repousse toute seule 3 fois. Ensuite il faut brûler ce qui reste et replanter.
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Il y a quelques tracteurs, mais ce sont principalement les zébus qui tirent les charettes pleines de canne. Après avoir coupé la canne, il faut ramasser les plants, toujours à la main.
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Il y a des dizaines d'hectares de plantations, et au fond une des chaines montagneuses de l'ïle.
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Deux enfants sur un âne, moyen de locomotion très utilisé (de même que la mobylette).
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Voilà la cuisine de Minerva chez qui on a déjeuné.
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Nous avons eu le privilège de manger dans sa salle.
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Une casserole.
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"catholico" (d'ailleurs ce mot n'avait pas du tout la même signification dans la bouche de David, après un verre de rhum).
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Luc a chipé un bout de chocolat dans un carton, avec la complicité de Carole !
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Un bananier.
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Un ananassier.
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?
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C'est toujours chez Minerva.
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Voici une fleur de coton.
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Cette photo est pour Céliane, pour la robe de la petite fille.
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El Chavon, la rivière sur laquelle ont été tournés "Apocalypse now" et "King-Kong".
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Baignade.
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Un guide nous prépare de la canne pour qu'on y goûte. On mastique, on recrache la partie centrale filandreuse. Le jus est très bon (c'est bien meilleur que le jus de noix de coco).
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Chargement de la canne dans des wagons qui vont directement à l'usine dont on voyait la fumée sur une photo et qu'on reverra, à La Romana.
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Au fond on devine un village qui héberge les Haïtiens. Les maisons sont en dur. Si j'ai bien compris, les Haïtiens ne paient pas de loyer non plus, c'est pour eux une bonne opportunité de pouvoir travaiiler (dur pourtant) ici.
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Après un arrêt dans une boutique de cigares (où je ne suis pas resté, j'en ai profité pour aller dans un supermarché), c'est le propriétaire de la boutique qui nous paie le taxi pour retourner à la plage (style mafia... entente entre Alex et ce proprio).
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Enfin, on trouve cet arbre dont on cherchait le nom l'an dernier (après avoir oublié de photographier la pancarte)... c'est un almendra (amande ?).
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Et voici son fruit, qui ne se mange pas.
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La lune pointe son nez.
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La plage (ou le port de plaisance) de Bayahibe, où mouille le cata (comme à notre arrivée).
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Superbe diner qui démarre par une salade de lambis préparée (comme tout les reste) par Tania... C'était super bon !
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Arc en ciel.
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David étant parti faire un remplacement sur un autre bateau, Yann donne un coup de main à Johnny.
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Ce petit voilier de pêcheurs nous a doublé à vive allure.
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Pendant une demi-heure, je suis el capitano !
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Nous avançons dans le canal entre la RD et Saona. Au bout c'est Catalenita. Il y a un fort vent de face et un beau clapot.
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On devine, à gauche, la barrière de corail...
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De l'autre côté aussi, et il y a 2 bateaux qui s'y sont échoués il y a une dizaine d'années.
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A cet endroit on est au bout de la mer des Caraïbes. De chaque côté la terre est loin (plusieurs kilomètres).
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J'ai été voir si c'est plus beau là bas (car sur le banc de sable, il n'y rien à voir) et...
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d'un coup d'un seul, il n'y presque plus d'eau ! (on n'est pas du tout au bord d'une plage !)
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La terre la plus proche est là !!
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Nos compagnons de voyage.
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Le déjeuner de rêve, on a mangé les pieds dans l'eau, loin de tout...
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Une langouste et demie grillées chacun.
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Les légumes sont servis en buffet sur cette table naturelle.
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Derrière ces vagues, c'est l'Atlantique (et à quelques dizaines de km, Punta Cana).
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On peut voir qu'ici, la barrière est large, nous y avons plongé, c'était fantastique.
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Les rochers sont tranchants. Les semelles des chaussures sont lacérées !
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D'un côté c'est agité, c'est l'océan et...
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...
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quelques mètres plus loin, protégée par la barrière, la mer des Caräibes est calme.
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Et toujours cette eau limpide.
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A plusieurs endroits on a vu ces coquillages (chitons) de forme ovale collés au rocher.
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Des cactus.
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Une fleur de cactus.
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Une autre.
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Végétation aride sur ces ilôts de Catalenita.
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Pour aller vers notre prochaine escale, on doit retraverser le canal, mais gare, le skipper du grand cata n'a pas fait attention et s'est ensablé. Il a eu bien du mal à s'en sortir. (le canal est pourtant très large)
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En cours de route Inès laisse tomber sa souris (tshirt pour se baigner), qui coule, Yann réussit à la récupérer par 8 m de fond.
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Dimanche 20. Après la plongée d'avant le lever de soleil, voici la plage qu'on convoite. Il n'est pas prévu qu'on s'y rende, mais Johnny nous y négociera un droit d'une heure ou deux contre une bouteille de rhum.
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Une murène échouée (j'en ai vu sous l'eau, mais des plus petites, dont une jaune).
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Les lézards que nous avons croisés ont la particularité d'avoir une queue enroulée (comme un scorpion); verticalement pour les petits et horizontalement pour les plus gros, souvent orangée.
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Des coraux que nous n'avons pas ramenés, très piquants.
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Ces petits oiseaux sont très beaux en vol, rayés blanc et marron.
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Un crabe qui était dans un coquillage ?
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Et toujours cette eau...
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Par contre, dès qu'on sort des coins pour touristes, il y a des détritus partout !
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Un poisson coffre. Il était complètement vidé, il ne restait que sa carapace (qui est son squelette), d'où son nom.
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Curieuses ces indications. En tout cas ils ne les respectent pas (la musique est à tue-tête du matin au soir par exemple).
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Curieux poisson que nous ne pensons pas avoir vu sous l'eau.
Il s'agit sûrement d'un poisson porc-épic (qui se gonfle pour effrayer ses prédateurs).
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Tania dans sa cuisine.
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Il s'est mis à pleuvoir un peu (assez fort 2 ou 3 fois 3 minutes).
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Barbecue sur le grand cata. Cela nous donne poulet, porc et poisson grillés.
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Traversée vers Catalina très pénible, il y a tellement de vent que Johnny plie la voile pour finir au moteur afin qu'on ne soit pas malade... Des verres sont tombés et se sont cassés.
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Mais Johnny est habitué, tout va bien... (presque tout le monde s'allonge et dort, moi j'ai trop mangé le midi je n'y arrive pas, pas génial).
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On longe Catalina.
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Nous voici au sud de l'ïle devant la plage touristique.
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4 jolies maisons en plein jour.
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4 autres maisons au coucher du soleil.
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Un apéro après une belle plongée et Johnny discute poissons, illustrations à l'appui.
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Difficile de dire quels poissons on a vu ou pas, mais gràce à ce panneau on va quand même pouvoir donner des noms aux photos.
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Dernier coucher de soleil depuis le bateau.
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Snif.
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Pour ce dernier repas, Tania a préparé le plat traditionnel de fête de l'ïle (el sancocho).
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21/2. La croisière va bientôt s'achever... Comme les autres matins je me lève avant le soleil et Johnny est déjà prêt à partir. Je lui demande 5 minutes pour un dernier bain, qu'il accepte. J'ai la chance de revoir le poisson que je trouve le plus beau de tous... le yellowtail damselfish.
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On arrive devant La Romana.
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On croise cet énorme paquebot qui peut embarquer 3000 personnes.
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Ce paquebot fait un tour à la journée. Sa première escale (où on le voit sur cette photo) est à l'endroit où nous avons dormi, derrière Catalina.
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Nous passerons sur ce pont tout à l'heure pour aller à l'hôtel puis pour aller à l'aéroport.
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C'est fini pour la cata, au revoir le bahia 46, zazou pour les intimes.
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Dernier tour de barque...
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Escale à Altos de Chavon (tout proche de Casa de Campo - coin touristique pour riches) pour la visite d'un village italien construit en 1985. Nous y observons une jolie flore.
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Un atelier de tissage.
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Cet arbre est un palmier royal, c'est lui qui donne les coeurs de palmier qu'on mange.
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Cet oiseau est l'émblême aviaire du pays. Il s'appelle l'esclave palmiste.
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Ici a joué, entre autres, Sting.
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Les pierres ont été travaillées pour donner un aspect 'vieux'.
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Ces pierres viennent de la mer (on y voit des coraux).
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Sur la route on a vu de nombreux cactus de la taille d'un arbre. Celui-là est du même type et fait facilement 4 m de haut.
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Le groupe du bahia pose pour le souvenir.
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Un policier de La Romana.
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Le centre ville est propre.
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Mais dès qu'on sort :-(
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Une boutique de souvenirs où on s'est arrêté (bof).
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Satisfaction. Pour le reste de la journée, on attend à l'hôtel... Réflexe, avant de déjeuner, une pina colada ! (on n'a d'ailleurs pas très bien mangé, c'était au buffet de la plage, mais on voyait la mer).
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On a fait une heure de kayak. J'ai emmené le masque en me disant que ça allait être chouette de voir encore des poissons surtout qu'il y a une petite île à quelques centaines de mètres... (ici c'est Inès et Luc sur le kayak et Yann et Anouk sur le voilier).
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mais la visiblité est quasi nulle, sans doute à cause d'une rivière qui débouche à proximité. Alors on va un peu plus loin, au fond sur cette photo, il y a quelques vagues, et des troncs d'arbre en travers. Je dis à Carole de s'y tenir pendant que je me penche. Sauf qu'avec les vagues et les troncs glissants, on tombe. Pas grave me direz-vous... et il n'y pas pas beaucoup de fond mais c'est pavé d'oursins !!! On s'en est sorti sans bobo et j'ai perdu mon tuba dans la bagarre (on l'a cherché dans le courant, je ne pensais pas que ça coule).
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Le joli petit îlot, dommage qu'il n'y ait pas de "visu".
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Encore un peu de soleil.
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On reprend le car vers 18h15, on retraverse La Romana.
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Et l'attente est longue, en plus la clim' est trop forte, il caille !
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Presque la pleine lune.
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Au revoir La Romana.
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On vient de décoller (en bas à droite).
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Je me réveille au-dessus des Açores, il fait à peu près beau.
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Ce n'est pas le cas à Paris. Il neige !
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Quelque part en Eure-et-Loir.
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Voilà nos trésors de voyage, les coraux. Ceux de droite sont magnifiques sous l'eau et peuvent atteindre de grandes tailles, ce sont des gorgons.
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Celui-là est remarquable.
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Il est possible que celui du bas ne soit pas un corail mais une éponge... on cherche à vérifier...
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Les oursins (on en a cassés 2 sur la bateau et 3 pendant le voyage).
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Les gros coquillages. Le gros rouge (lambi) à gauche, on l'a mangé !
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Les petits coquillages.
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Une petite noix de coco et du coton.
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Du sable, fin et blanc.
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Un tableau aux couleurs vives. Et bien sûr toutes les photos qu'on vient de voir...

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