 | Point
technique, la carte bleue ne fonctionne pas partout à Mada... pour les
chèques c'est même pire, certains commerçants qui acceptent les chèques
ne prennent que ceux émis par une banque de la ville où ils sont
établis. Du coup on part avec tout ce qu'il faut en liquide, avec une
provision supplémentaire au cas où... là il y a environ 9 millions
d'ariary (3000 euros). Sachant que le billet le plus élevé vaut 10 000
Ar... ça en fait un paquet à trimballer ! |
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 | 18/4. Rendez-vous sur un parking d'un hôtel de Tana avec le chauffeur (avec qui on est déjà parti en octobre)...
il a une heure de retard, ça commence bien ! |
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 | Les paysages le long de la route sont assez changeants et le seront jusqu'au bout. |
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 | Cela ressemble à "Chamarel" à Maurice, avec moins de couleurs, mais en beaucoup plus grand. |
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 | Le
soleil se couche, il nous reste encore au moins une heure de route...
on avance pas très vite mais c'est normal sur ces routes sinueuses où
peut jaillir n'importe qui ou n'importe quoi à tout bout de champ
(vélo, camion qui se traîne, zébu, ...). |
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 | Hôtel bas de gamme, voilà un détail de la salle de bain, une petite grenouille :-) |
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 | A l'extérieur de nombreux geckos se régalent... |
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 | Pour faire réparer une crevaison... |
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 | Nous
sommes à Maevatanana, la ville la plus chaude de Mada... et c'est en
effet une ville sans air, très moite, impressionnant. Une boutique où
l'on vend du riz, des meubles, des vélos,... et au premier plan une
charette qui sert aux livraisons. |
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 | Au dessous d'un grand pont, cette rivière rouge. |
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 | Voilà le plus grand pont suspendu de Mada. |
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 | Nous visitons le parc d'Ankarafantsika. |
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 | Nous avons vu de superbes oiseaux (malheureusement, je me suis planté dans les réglages de l'appareil photo :-( ). |
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 | Un coua (qui a un chant superbe !) |
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 | Une chrysalide posé sur de la vanille sauvage. |
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 | Un lémurien nocture. |
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 | Essaim de guêpes. |
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 | Avons
aussi vu des drongos (oiseau noir avec une houpette, pas de photo)
qu'on appelle le roi des oiseaux parce qu'il imite un peu tous les cris
(dont le miaulement, le pleur d'un bébé). Voilà la légende : Le drongo
(qui était blanc alors), la chauve-souris et le corbeau se trouvent
devant un incendie. Dieu Leur demande de l'éteindre afin de les tester.
Le drongo se contente de se rouler dans la cendre et dès que ses 2
compères ont fini d'éteindre le feu va voir Dieu et lui dit qu'il a
tout fait tout seul. Dieu le voyant tout noir le félicite et lui donne
le pouvoir de chanter ce qu'il veut en récompense. Apprenant cela, le
corbeau se vexe et s'en va bouder, quand à la chauve-souris, pour
montrer son mécontentement, dès qu'elle s'arrête montre ses fesses au
ciel ! |
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 | Vue de la canopée de la forêt sèche, encore verte car on sort de la saison des pluies.
Dans quelques semaines, elle sera jaune.
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 | Des sifakas nous font un show au-dessus de nos têtes (2 clans se sont croisés et battus). |
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 | Magnifique chenille. |
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 | L'arbre des crocodiles... |
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 | En
venant le voir de près Céliane a marché sur une épine qui s'était
décrochée, cela lui a transpercé la semelle et fait un petit trou dans
le pied. En plus il y a un liquide qui fait perdurer la douleur... |
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 | C'est un lac du parc, rongé par les nénuphars. Bernard est passé par là en Février, il n'y avait que de l'eau. |
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 | Cette
digue a été construite pour couper le lac (à droite et surtout
transformer de nombreux hectares en rizières très productives (il fait
très chaud) : 3 récoltes par an ! |
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 | Décor de savane. On devine au loin (40 ou 50 km) la mer et Majunga (à droite). |
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 | Cette femme a déjà du parcourir plusieurs kilomètres ainsi... et elle n'est pas arrivée. |
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 | Coucher de soleil sur le canal de Mozambique, tout près de Majunga. |
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 | Repas sur le "bord" : brochettes de poisson, de zébu et de manioc grillées. |
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 | 20/4. Le matin se lève, tranquille. |
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 | Sur la plage des libellules bleues. |
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 | Pas de voiture ce matin, c'est cool. |
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 | Voici le bungalow de Damien, un collègue nommé au collège français de Majunga. |
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 | Un peu d'escalade pour profiter de la vue du cirque rouge... |
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 | Qui est un énorme lavaka (érosion due à la déforestation). |
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 | Sur
le retour, Vincent (un scientifique de Tana qui a passé la soirée avec
nous également) s'embourbe. Pas de problèmes une dizaine de gars aident
aussitôt à s'en sortir. |
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 | Des tourterelles à masque de fer. |
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 | En voilà une qui mange une libellule. |
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 | On s'est fait servir le petit déjeuner à notre bungalow, à 5 m de la plage... |
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 | Le fameux baobab de Majunga, le plus gros de la région. |
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 | Les pêcheurs sortent avec leurs pirogues. |
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 | Des boutres, ces bateaux qui servent à transporter de la marchandise sur de grandes distances. |
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 | Un parking à charettes à l'entrée de la ville, les zébus n'ayant pas le droit d'entrer. |
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 | On quitte Majunga. |
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 | Sur la route, on évite à plusieurs reprises serpents et caméléons. |
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 | Un autre clin d'oeil à Bernard qui est passé là en février... avec 50 cm d'eau sur la route ! |
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 | Cela y ressemble mais ce n'est pas de la canne à sucre. |
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 | Les gens profitent des radiers pour se laver, laver leurs véhicules... |
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 | Culture de tabac. |
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 | Passage poussiéreux ! |
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 | Déjeuner dans une gargotte musulmane où on s'est régalé pour pas cher. |
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 | Voilà le plus long pont de Mada (600 m ?). |
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 | Pour aller de Tana à Majunga, nous étions sur la RN4, à présent c'est la RN6 que nous empruntons. |
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 | Quel chargement ! |
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 | C'est un bras de mer qu'on voit entrer dans les terres. |
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 | Le soleil se couche sur les montagnes que nous longeons. Pas très loin, il y a le sommet le plus élevé de l'île
(2 876 mètres pour le mont Maromokotro dans l'Ankaratra).
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 | Après avoir dormi au Marakech, à Ambanja, nous filons sur Ankify... |
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 | Nous traversons des plantations de cacao. |
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 | Une vaste mangrove. |
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 | Après une demi-heure de traversée (et avoir affronté les porteurs des ports d'Ankify et de Hellville), voici Nosy Be. |
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 | Arrivée à l'hôtel, Céliane se met en condition, paréo, fleur tropicale dans les cheveux... |
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 | Au bout de la plage, des rochers et un panneau très explicite. Il faut dire qu'arrivé là, ça pue effectivement ! |
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 | La plage. |
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 | L'hôtel (une ancienne maison habitée par un enseignant en coopération à Nosy Be, dure la vie parfois...). |
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 | Des macacao (lemur lemur) font partie du décor. Le matin ils s'invitent pour picorer les restes.
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 | Nous prenons une navette rapide pour nous rendre à Nosy Iranja, l'île aux tortues... |
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 | que
voici. Les tortues viennent encore, mais le soir, le jour, elles sont
dérangées (paraît-il) par l'hôtel qui s'est construit sur l'île en
face). |
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 | Excellent repas, bien présenté et très bon (barracuda grillé, crevettes, crabe, ...). |
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 | C'est sur cette île qu'il y a l'hôtel (on y serait bien allé, mais à 400 euros par personne par nuit...). |
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 | Retour sur "notre" plage. |
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 | Sur
cette plage où nous avons passé quelques heures à jouer, nous baigner
et à lire tranquillement installés dans les fauteuils, nous n'avons
rien senti, mais des moka fohy (prononcer moukafouille) nous ont
massacrés. Ce sont des petits insectes comme des toutes petites mouches
noires au bout des ailes blanc. Si on gratte, ça s'infecte... et ça
gratte beaucoup !! |
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 | Plantation d'Ylang-Ylang, fleur très parfumée pour des huiles essentielles très recherchées. |
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 | A Nosy Be, il y avait des plantation de canne à sucre, à présent on y exploite surtout l'Ylang-ylang, le café et le poivre. |
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 | En route pour lé réserve de Lokobe en pirogue (moyen obligatoire), voici deux sortes d'oiseaux marins (des sternes et ?). |
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 | Des oranges. |
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 | Des pamplemousses. |
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 | Une clitoria. |
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 | Un boa constrictor. |
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 | Une couleuvre, assez aggressive, notamment en période de reproduction. |
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 | Un
Ylang-ylang sauvage qui a été coupé une fois (sur les plantations, ils
les coupent 3 fois pour les maintenir à hauteur d'homme et pour qu'ils
fleurissent davantage). Sans coupe, c'est un arbre très grand et très
droit, idéal pour y faire des planches.
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 | Un palmier rafia. |
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 | Un lémurien nocturne. |
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 | Un lézard. |
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 | Retour par le même moyen (pas le choix !). |
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 | Mangrove. |
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 | Interdit aux charettes... sauf qu'il n'y a qu'une route pour se rendre au marché... Ce panneau c'est juste pour la déco ! |
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 | Transport de marchandises. On a vu sur un autre de même taille un petit camion avec des quads fixés dessus. |
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 | Le port d'Ankify. |
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 | De nouveau sur ces routes ombragées. |
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 | Dans cette voiture, on a compté 14 personnes !!! |
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 | De nombreux zébus sont accompagnés d'une aigrette. |
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 | Voilà de la canne à sucre. |
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 | Des ballots de... riz. Du riz pluvial pousse ici. |
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 | Voici ce riz, encore vert. |
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 | On devine là des tsingys (celles de l'Ankarana). |
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 | Des aigrettes dans un chmpa très vert de riz. |
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 | On est toujours sur la nationale. |
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 | Au lac sacré des crocodiles du Nil... pas de barrière entre eux et nous. |
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 | Non, ils n'ont pas spécialement envie de nous croquer... ils ventilent (pour la température). |
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 | De nombreux cisales. |
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 | Une charette tirée par 6 boeufs... il faut dire que les chemins sont très boueux... |
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 | Devant nous un 4x4 s'est embourbé à cet endroit. |
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 | Une
branche de khat, une drogue locale, interdite, mais largement tolérée.
On voit les gens (hommes femmes) macher ça et laisser les feuilles dans
leur joue, au début on pourrait croire qu'il s'agit d'un sévère mal de
dent (ce qui finira par leur arriver !). |
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 | Sur
la montagne d'Ambre (qui culmine à plus de 1400 m et où on retrouve un
climat comparable à celui d'Antsirabé, avec du vent en plus), il y a un
magnifique parc. Pour l'atteindre, on traverse Joffreville dont voici
l'avenue de l'Indépendance. Ville déserte qui fut un joyau pendant la
colonisation. |
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 | Toutes les vitres de ce collège ont été brisées il y a 10 ans par un cyclone. Aucune n' a été remplacée. |
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 | Arrivés dans le parc, ça ne traîne pas... une sangsue m'attaque. |
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 | On voit ici de superbes papilllons. |
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 | Au centre, une cicadelle écumeuse, reconnaissable par toute la bave qu'elle rejette autour d'elle. |
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 | Au loin la mer (à gauche le canal du Mozambique et à droite l'océan Indien). |
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 | Une orchidée en fleur... il faut en profiter, la floraison dure au maximum 15 jours. |
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 | Voilà le plus petit caméléon arboricole au monde. Tout de suite, il est de bonne humeur, son nez proéminent vire vers le bleu. |
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 | Une
petite grenouille... mais sur cette photo ce n'est pas la plus petite
qui vit ici aussi. Céliane et le guide en ont vu une mais n'ont pas
réussi à l'attraper. Elle serait longue de 1 à 2 cm seulement.
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 | Quelle fougère ! On retrouve la végétation d'une forêt tropicale humide (comme Ranomafana). |
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Forêt primaire et ses grands arbres touffus.
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 | Cette plante est l'équivalent de nos orties... je confirme qu'on le sent passer quand on s'y frotte ! |
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 | Un iule. |
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 | Deux grandes chrysalides "communes" (quelques dizaines de futurs papillons dans chaque). |
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 | Des lianes. |
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 | C'est humide ! |
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 | Une
jolie cascade (sacrée)... Dans cette région, il est déconseillé de
travailler le mardi. Surtout les travaux agricoles, personne n'est
assez fou pour planter un mardi ! Cette croyance provient d'écrits
arabes. De même lorsque qu'un enfant naissait un mardi (il paraît que
cette coutume est terminée), on le laissait devant la porte de l'enclos
des zébus qu'on faisait sortir. Si l'enfant survivait c'est qu'il
n'était pas maudit malgré ce mauvais jour !
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Voyez sa taille, sur la paume de Rémi.
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 | Jolie chenille. |
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 | Le plus gros caméléon endémique. On a là une femelle prête à pondre. |
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 | Et voici le clou de la journée : les plus petits caméléons du monde ! |
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 | La femelle a la queue plus courte que le mâle. |
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 | Difficile de croire qu'on n'en écrase pas :-( |
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 | Vous le voyez ? Cherchez avant de passer aux photos suivantes... |
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 | On l'a un peu secoué pour vous le montrer, on espère que vous appréciez. |
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 | Une autre cascade. |
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 | Superbe allée d'araucarias (peut-être 25 m de haut !). |
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 | Quel escargot ! |
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 | Un petit hibou. |
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 | On reprend la piste, 4x4 obligatoire. Par temps sec, cependant, certaines 4L arrivent jusque là !
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 | 26/4. L'entrée de Diego, avec ses taxis 4L jaunes. |
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 | Beaucoup de vent... c'est comme ça depuis mi-avril jusque mi-septembre. Assommant ! |
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 | Dans la grande baie, le "pain de sucre". |
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 | Quelques petits baobas sont posés au pied de la "montagne des Français". |
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 | A l'hôtel, sous un recoin du toit face à la mer, des chauve-souris attendent le coucher du soleil, toujours les fesses en l'air. |
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 | On finit notre circuit dans ces bungalows, les pieds dans le sable. |
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 | Voilà
le dessert, un 'chocolat fondant', à ne pas confondre avec un fondant
au chocolat... deux barres de chocolat chauffées font ce dessert ! |
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 | Magnifique papillon de nuit. |
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 | En route pour la mer d'Emeraude, la mer est un peu agitée. |
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 | On
récupère d'autres passagers et on s'avance vers la grande passe qui
sera fatale à un de nos appareils photos. Dans sa housse, dans une
poche intérieure de mon K-Way, fermé, moi dos à la vague, cela n'a pas
suffi, quand je l'ai sorti, il y avait qqs gouttes sur l'écran et
depuis il refuse de s'allumer :-( |
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 | Cette
mer d'Emeraude devrait être lisse, transparente... mais ce n'est pas la
bonne saison ! J'ai pris qqs photos sous l'eau, rien
d'extraordinaire... sauf... ici où on a vu des tortues marines. Il n'y
a pas de photos, celui qui me sert aux photos sous-marines étant
vraiment trop peu réactif... le temps qu'il se déclenche et la tortue
avait plongé. |
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 | Devant les bungalows, tous les soirs les crabes refont leurs trous, en voilà un qui transport le sable creusé. |
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 | Les
geckos sont parfois magnifiques. Dans notre chambre, il y en avait 5
qui nous servaient d'anti-moustiques (enfin, pas totalement). |
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 | Les fruits d'un cisale. Il fleurit une fois seulement, après il meurt. |
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 | Pour garder la ville, les Français avaient installé à plusieurs endroits des canons. Celui-là est daté de 1884. |
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 | Au fond, la mer d'Emeraude. |
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 | Des mini tsingys. |
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 | L'une des baies qui jonchent cette cote. |
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 | Vue de la grande passe, sous un nuage menaçant. |
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 | Ah, petit souci sur cette piste étroite ! |
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 | Un pachypodium géant. |
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 | Dans
cette baie, c'est le paradis des kiteurs. Peu d'eau dans un premier
temps, idéal pour apprendre et au fond, des vagues pour ceux qui
veulent toujours plus. |
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 | Gecko nocturne ou albinos ? |
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 | Les
zébus se déplacent en liberté dans cette région (très surprenant en
comparaison avec le sud où le gardien du troupeau est armé), les voilà
même sur "notre" plage ! |
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 | C'est avec ce type de bateau qu'on est allé voir la mer d'Emeraude. |
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 | Dire qu'on avait les pieds dans l'eau, simplement une image ? |
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 | 30/4. Dernier jour de notre périple, le matin se lève sur la mangrove. |
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 | Léon nous salue une dernière fois. |
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 | 2 petits baobabs. |
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 | Les pousses de Diego ne servent principalement que pour le transport de marchandises.
En arrière plan, on voit des bâtiments de logement à étages, relativement récents. Il n'y en a aucun par chez nous de ce type.
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 | Bienvenue à l'aéroport... avec 4 h d'avance... en effet notre avion a été annulé :-( |
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 | On
retourne donc en ville. Dans cette rue les vendeurs de khat officient
librement, à quelques dizaines de mètres du commissariat. |
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 | Ce coup-ci, c'est parti... |
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 | Un dernier coup d'oeil au pain de sucre de la baie de Diego. |
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 | On survole des petits coins paridisiaques, car on fait une escale à Nosy Be. |
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 | A l'aéroport de Nosy be où les jardiniers fauchent l'herbe à la main. |
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 | Direction Tana, on survole très vite les montagnes. On devine la terre meurtrie avec ses lavakas. |
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 | Le riz est coupé mais n'est pas mis en botte ici. |
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 | Voilà
Tana... on partira de l'hôtel où est garée la voiture vers 18h (il fait
nuit vers 17h30). On mettra 1h30 à sortir de la ville embouteillée puis
on arrivera à la maison vers 22h. Conduire de nuit est vraiment
pénible, de nombreux véhicules sont peu ou pas du tout éclairés ou
restent en plein phare... il y avait même un policier au milieu de la
route avec une lampe torche comme seul point visible, mais tourné de
l'autre côté, heureusement une voiture arrivait en face et je l'ai vu
(et évité)... Il y avait aussi une herse en travers de la moitié de la
route... Je suis vraiment étonné qu'il n'y ait pas plus d'accidents que
cela ! |
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