 | Réveil à Morondava, sur la plage. |
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 | Quelques pousses ici aussi. |
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 | La rue principale. |
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 | La route est en très sâle état, on roule plus vite à côté de la partie goudronnée ! |
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 | Ils récoltent déjà le riz (dans les hauts plateaux, ils commencent à semer). |
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 | Piste noire. |
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 | 3 mois dans l'année, tout cela est sous l'eau... la piste (seule route pour aller vers le sud de Morondava) est donc fermée. |
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 | Végétation aride. |
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 | Autre variété : un baobab bouteille. |
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 | Celui-ci se partage en 3. |
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 | C'est la route ! |
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 | Cela ressemble à un désert. |
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 | Des
restes du dernier cyclone... et surprise : la partie du baobab qui est
sous terre n'est pas si grande que ce que nous avait dit le guide du
jardin des baobabs à Ifaty ! |
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 | Terrible boulot, avec ses baguettes, cet ouvrier casse le sel. |
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 | Cette petite digue est une patinoire, les 4x4 avancent en crabe. A fort coefficient de marée, tout est sous l'eau ! |
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 | Sympathique procession. |
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 | Ce soir on mangera ces thons qui viennent d'être pêchés. |
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 | La piste fut très longue et très fatigante (5 h pour moins de 100 km) et Gilles en oublie de retourner son assiette. |
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 | Cette serveuse porte ce masque qui la protège du soleil... c'est vrai qu'il tape fort ! |
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 | On a passé une nuit dans ce complexe en rénovation, dans des conditions spartiates ! |
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 | La bière n'est pas très fraîche, mais on rigole bien. |
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 | Des huîtres locales, petites mais excellentes. En second plan des achards de mangues. |
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 | Des clovis, excellents ! |
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 | Les brochettes de thon, un régal. |
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 | Lever de soleil sur Belo/mer. |
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Une sauterelle chien. |
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 Miam ! |

En route pour les plages d'émeraude. |
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 Nous croisons un banc de dauphins, mais ils n'avaient pas envie de jouer. |
 L'île
est déserte, pas d'eau, pas d'arbre... mais pourtant des pêcheurs
viennent y vivre de mars à décembre. On est à 17 km de la côte.
Régulièrement ils vont chercher de l'eau, du charbon, du riz ou du
manioc... entre 1h30 et 5h de pirogue sont nécessaires. |
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 Ils
ont monté des murets en coquillages et coraux et tendent la voile de
leur pirgogue comme toit. Bien sûr, pas de médecin ni de sage-femme non
plus. |
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 La place de Belo. |
 | Des enfants qui jouentavec des voitures fabriquées avec des conserves. |
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 Ce joli papillon s'est fait avoir. |
 Le soir, de nouveau, on se régale : oursins, clovis, ... |
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 Dernier petit déjeuner sur l'océan. |
 Un martin triste. |
 Un lézard d'une quinzaine de cm... et à côté une trace d'un autre beaucoup plus gros ! |
 Salicorne. |
 On attend que les zébus se poussent pour passer... Mode 4x4 obligatoire. |
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 | Le fusil, la herse : on s'arrête ! |
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 Ce
sont les Chinois qui ont construit cette route, en échange ils peuvent
exploiter des mines et ouvrir des commerces de leurs produits... |
 | Assez vite on s'enfonce dans le pays et on prend de l'altitude. |
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 A
mi-chemin entre Morondava et Miandrivazo, un restaurant (tenu par des
Chinois) qui ressemble à un Routier en France. Un plat : porc ou zébu
ou sarcelle (canard sauvage) avec riz (belles portions) et un fruit
(mangue) : 4000 Ar (1,5 €)... imbattable ! |
 Cette portion est en cours d'aménagement. Les machines sont chinoises aussi. |
 Dernier jour, Céliane et Carole font le point avant la dernière ligne droite. |
 C'est le verre de la salle de bain. De toute façon, l'eau qui sort des robinets est marron... |
 On reprend la route et on passe par un village d'orpailleurs. |
 Un lavac. |
 Les
zébus parcourent des dizaines, voire centaines de km, et les gardiens
ont un fusil, ils ont l'autorisation de tirer sur les voleurs, qui sont
légion parait-il. |
 Sur les nationales goudronnées, tous les km, il y a une petite borne qui nous indique où on en est. |
Vaccination des zébus. |
 Installation d'un nouveau poteau électrique. |
 A
cet arrêt, les militaires ont essayé de récupérer du fric...
soit-disant qu'on devait leur présenter les contrats des chauffeurs,
celui qu'on avait avec l'agence ne suffisant pas... On a réussi à
partir sans verser un Ariary, les gars faisaient une sacrée tronche,
ils ont même essayé de nous faire faire demi-tour ! |
 Comme tout est calculé au plus juste, on est tombé en panne d'essence ! |
 Dans certains villages, l'essence (super, gazoil) est vendue à la bouteille ! |
 Passage par la filature de soie, non loin de la maison. |
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 Et on termine par un petit restau :-) |
Fin de ce sympathique voyage, riche et instructif...
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