 | Après 7 semaines en France, très riches, nous voici repartis. Ici, on laisse Nantes derrière nous. |
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 | Arrivée sur Paris par l'ouest. |
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 | Engins très spécifiques. |
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 | A peine décollés, nous sommes déjà loin ! |
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 | Au-dessus des Alpes. |
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 | Nous apercevons les cotes Africaines (Lybie ou Egypte). |
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 | Très sympa d'avoir un écran individuel ! |
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 | Après une courte nuit dans un hôtel tout proche de l'aéroport, la voiture est chargée : 7 valises sur la galerie ! |
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 | Avertissement explicite, quelque part entre Tana et Antsirabé. |
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 | Et voici le danger : non, pas la charette, mais les trous béants de chaque côté de la route. |
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 | 21/08. Après une courte pause à la maison, nous repartons vers le sud. |
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 | Dans les hauts-plateaux, les villages sont souvent constitués de maisons en dur. |
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 | Si, si, ils roulent comme ça ! |
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 | Un autre moyen de transport, dangereux dans les descentes. |
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 | Pause dégustation à Fianar : croco, canard sauvage, sanglier, cuisses de grenouilles et... |
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 | Chauve-souris ! Goût qui ressemble un peu au lapin, c'est d'ailleurs plein de petits os aussi. |
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 | On poursuit la route. |
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 | Certains craquent, tant pis pour le paysage. |
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 | Difficile d'aller très vite quand on croise un troupeau. |
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 | Là encore, le taxi brousse avance avec ce gars dehors ! |
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 | Tiens on se croirait dans la savane... sans les animaux. |
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 | On se pose dans un hôtel face à l'Isalo. |
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 | La piscine est un peu fraiche, mais il faut se défouler ! |
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 | Etrange,
quelques caméléons n'ont pas hiberné. D'ordinaire, à cette époque (on
est encore en hiver), ils restent dans leur terrier. |
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 | Des centaines de termitières dans cette zone. On peut voir aussi que les brûlis sont toujours d'actualité. |
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 | On a quitté les hauts-plateaux et les villages sont constitués le plus souvent de cases. |
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 | Quelques magnifiques baobabs se dressent dans la plaine. |
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 | On ne sait pas l'activité produite dans ces tonneaux, mais dans les villages alentours, ils vendent beaucoup de charbon. |
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 | Le boucher du village. |
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 | Etonnant,
un cycliste avec un casque. Dans le fond le canal du Mozambique, et la
voiture qui roule au milieu de la route, comme tout le monde... |
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Une femme masquée, avec son bébé sur les genoux faisant la lessive sur un trottoir de Tuléar. |
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 | Sur
la piste qui nous mène à Ifaty, parfois des hommes ou des enfants
rebouchent (superficiellement) des trous pour faire la manche. |
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 | C'est la nouvelle lune, le coefficient de marée est fort, la mangrove n'a plus les pieds dans l'eau. |
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 | A
marée basse, les pêcheurs peuvent avoir pied à de nombreux endroits,
dont un banc très proche de la barrière.. pas étonnant que celle-ci
soit autant abîmée. |
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 | Dès notre arrivée, on profite des pirogues pour aller voir les faune et flore marines de plus près. L'eau est à environ 24°C. |
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 | Des poissons clowns sur une anémone. |
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 | 22/8. Nous ne pouvons pas aller voir les baleines, on se rabat sur un tour avec un bateau à fond de verre, assez décevant. |
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 | Pour voir cela convenablement, il faut se mouiller :-) |
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 | Des
copains d'Antsirabé sont en vacances à proximité, ils nous rejoignent
pour quelques heures. On mange très bien dans cet hôtel (et trop
d'ailleurs) : on s'est régalé de fruits de mer (oursins, cigales,
crabes, langoustes...), de poissons (carangues, rougets, barracudas...)
et autres gourmandises ! |
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 | Quel étrange animal, un concombre de mer ? |
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 | Pour voir les hippocampes dans l'eau mieux vaut être équipé... il faut descendre à 15-20 m , dixit les pêcheurs locaux. |
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 | Des bernards nocturnes et qui seraient uniquement terrestres. |
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 | Un autre moyen de transport. |
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 | La vue depuis notre bungalow. |
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 | La
gérante de l'hôtel nous dit qu'il est interdit de pêcher au filet
depuis la plage et que les pêcheurs ne feraient cela que pour recevoir
quelques billets des touristes... on a un sérieux doute, les pêcheurs
ne nous ont rien demandé. |
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 | Alors, ce butin ? |
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 | Un poisson coffre (ça ne se mange pas). |
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 | De la friture. |
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 | Quelques petites soles. |
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 | Un minuscule poisson porc-épic surgonflé : |
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 | Un tout petit poulpe. |
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 | Et des syngnathes et autres petits poissons trompettes. |
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 | Un drungo à crète. |
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 | Les enfants n'ont pas besoin de nous. |
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 | Expérience
: un cactus est doux entre les épines... ces mêmes cactus sont très
appréciés des zébus (après avoir ôté les plus grosses épines). |
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 | Un souimangua, cela ressemble à un colibri qui fait aussi un léger surplace pour butiner. |
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 | On essaie le cerf-volant, pas facile. |
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 | Au large, des voutes, grands voiliers qui transportent des marchandises. |
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 | Balade sur une plage abandonnée. |
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 | Un jeune baobab. |
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 | Un lézard à 3 yeux. |
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 | Nous avons vu de magnifiques papillons, de grande taille (pour preuve, j'ai pu le prendre en photo en vol). |
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 | Feuilles de goyavier, que nous avons tous goûté en tisane, remède anti-diarrhée ! |
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 | Magnifique transparence de la sève. |
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 | Lors
d'une balade, nous avons pris un peu de hauteur et avons aperçu la
grosse houle qu'il y a au-delà de la barrière (et qui nous empêche
d'aller voir les baleines). |
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 | On devine le vent fort par les vagues y compris dans la piscine. Mais on est en hiver, il fait doux, et quelle vue ! |
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 | Dans la buanderie, 3 boas passent l'hiver, ils ne sortent que très peu, pour aller se ravitailler. |
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 | 26/8.
Avec la pirogue (en fait on en prenait 2, tellement il y a du vent pour
plus de sécurité), nous nous retrouvons tout près de la barrière, dans
une "piscine naturelle". |
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 | Où nous avons vu de magnifiques étoiles telle celle-ci. |
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 | De nombreuses dames se protègent du soleil à l'aide d'un masque constitué d'écorce de bois pilé et d'eau. |
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 | Coucher du soleil du 26/8. |
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 | Petite
accalmie de vent : on part à la recherche des baleines. On en a vu 6
seulement, mais plutôt bien, elles sont passées juste à côté ou sous le
bateau. |
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 | On les cherche au loin, on se rapproche, on coupe le moteur et les baleines, curieuses nagent un petit moment à côté. |
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 | Elles sont souvent dans le coin pour former des couples. |
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 | On ne les a pas vu sauter, mais elles nous ont montré, parfois, leur queue. |
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 | Juste après leur remontée à la surface, celle-ci devient toute lisse. |
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 | Peut-être que cela est dû au contenu de ce qu'elles projettent (comme si on se mouchait dans l'eau ?). |
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 | Coucher du soleil du 27/8. |
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 | 28/8, on rentre. Une charette en panne sur la piste. |
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 | Au revoir la mangrove. |
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Sur la route (on est toujours sur la route principale, la RN7), la prudence est de rigueur... |
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 | Nous repassons devant les baobabs. |
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 | Et recroisons des villages dont les maisons sont des cases. |
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 | Un gros feu de brousse (c'est le début de la saison). |
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 | Les buses, faucons et autres rapaces en profitent pour attraper les reptiles et rongeurs qui s'enfuient. |
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Des palmiers satrana (ce ne sont pas des palmiers à huile). |
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 | Nous rejoignons rapidement la montagne. |
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Le pique-nique. |
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 | On double très souvent des véhicules en panne. |
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 | Dans
ce village, ils vendent le charbon en très petite quantité. Un sac de
20 kg se vend sur la route 5000 Ar (2 €) et à Antsirabé 7500 Ar (3 €).
Chaque sachet fait peut-être 1 ou 2 kg... |
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 | Vente de canne à sucre, on y a goûté : très sucrée. |
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Pause pour un taxi brousse... les gens traversent pour se soulager. |
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 | Nous
n'avons que 2 panneaux comme celui-ci, sachant qu'ils viennent de
Tuléar avec leurs troupeaux (plusieurs centaines de km à pied, ils
mettent jusqu'à 4 mois). |
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 | Il
y a des barrières de police ou de gendarmerie un peu partout ; à la
sortie de Tuléar par exemple, il y en 3 en moins de 2 km. En général,
quand ils voient qu'il s'agit de vazahas (encore plus au volant), ils
nous font signe de passer (ou même on passe sans attendre !). Ils
savent qu'on est en règle et qu'il n'y a rien à soutirer. |
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On
est dans une période d'entretien des abords des routes : avec la
faucille ils débroussaillent et avec la pelle ils refont quelques
caniveaux. |
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