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22/12. Nous partons vers le sud et surtout nous perdons de l'altitude et donc gagnons des degrés Celsius. |
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 | Toujours une route très encombrée. |
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 | Après quelques heures la paysage change. |
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Escale à Isalo. Ce matin on part en rando, avant même de quitter l'hôtel, nous voyons plusieurs caméléons. |
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 | Cherchez bien, il y a deux phasmes. |
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 | Sur le chemin, on peut prendre quelques bestioles... |
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 | mais pour d'autres, il est préférable de ne pas y toucher ! |
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 | De beaux spécimens de pachypodiums. |
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 | Un canyon dans l'Isalo. |
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 | Pause baignade, l'eau qui coule au fond est très chaude, elle ruisselle en faible épaisseur sur les roches sous le soleil. |
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 | Un lézard qui a la queue d'un iguane. |
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 | Pour aller jusqu'au point de départ, il faut suivre une piste et passer des gués. (Carole vous racontera sa chute dans une future chronique !). |
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Dans ce même parc, mais un peu plus loin (et après avoir été manger un bon morceau de zébu grillé), nous croisons une famille de makis cattas (les mêmes qu'au zoo de la Flèche !). |
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 | Passage dans un canyon étroit. |
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 | Une magnifique cascade. |
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Tiens nous recroisons les makis ! Nous avons gêné leur progression en restant en travers du chemin, les grands étaient passé mais pas les petits qui n'osaient pas passer près de nous, deux grands sont alors venus les chercher en poussant de grands cris comme pour nous enguirlander... |
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 | Après cette bonne marche, un bon bain (eau à 30°C, comme à la "maison F", les enfants sont heureux, ça change de la piscine à 23°C d'Antsirabé !). |
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 | La vue depuis notre bungalow familial, c'est un endroit très tranquille. |
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 | Sur la route pour Tuléar, nous croisons des villages pauvres, où il n'y a que des cases, nous voyons aussi un champ de baobas. |
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Et un peu avant nous sommes passés par ce drôle de village. Il y avait quelques habitants puis l'un d'eux trouve un saphir, c'est alors une véritable ruée, les maisons ont poussé, 100 000 personnes y vivent et travaillent dans les mines pour le compte de quelques exploitants... En période de pluie, 5 à 6 mineurs meurent tous les jours coincés dans les galeries qui s'effondrent ! Dans ce village, on trouve un concessionnaire de 4x4, des casinos, des boites de nuit... |
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 | On s'approche de Tuléar et voilà les chars à zébus (zébus qui sont plus espacés que par chez nous). |
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 | Le port de Tuléar. On devine un cargo au loin qui vient de Morombe ou de Fort Dauphin. |
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 | Pause déjeuner, nous jouons au billard avant... |
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 | de manger nos premières langoustes ! |
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 | 23 km de piste pour rejoindre l'hôtel... près d'une heure. |
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 | Et premier bain dans l'eau qui est peut-être à 28°C... on est le 24 décembre !
Derrière Emilien on devine le toit de notre bungalow tout proche et bien caché par la végétation. |
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 | Déballage des cadeaux sur le sable :-) |
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 | Aujourd'hui ? Mais c'est noël !! On fête cela dans le grand bleu... Les photos sous l'eau sont sur une autre page. |
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 | Un assez gros lézard, aux couleurs vives. |
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 | Les enfants s'éclatent aussi dans la piscine... aussi chaude que la mer. |
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 | Notre bungalow, à 15 m de la plage... |
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 | Un tsunami ?? |
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 | Non, non, les vagues cassent bien avant la plage, sur la barrière, et comme il y a un peu de vent aujourd'hui, les vagues font jusqu'à 3 m. |
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 | Dégradé de bleus. |
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 | Visite d'un jardin de baobabs. Derrière les enfants, ce sont des cocons de papillons. |
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 | Voilà le plus gros baobab de la région. |
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 | Voyez les "X" et les "Y" sur cette écorce de l'arbre sacré de Madagascar, le palais de la Reine à Tana a été entièrement construit avec cet arbre (et brûlé pendant les évènements de 2002). |
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 | Un boa. |
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 | Voilà un monias, oiseau endémique de cette région du monde qui ressemble à un petit ibis... vous ne le verrez nulle part ailleurs ! |
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Emilien l'équilibriste. Pour ce retour, le vent est tombé, au lieu de mettre 30 min, on a mis plus d'une heure trente pour rentrer... Et il faisait chaud (Entre 35°C et 38°C à l'ombre !), du coup, tandis que la pirogue avançait (enfin fallait pagayer), on s'est mis dans l'eau, c'était super. |
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La vue du restaurant à marée basse. |
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 | Avons été voir la mangrove et avons enfin vu des mouettes ! |
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Dernier jour, 6h du mat' on va derrière la barrière de corail et on voit quelques tortues de mer, pas très bien il faut bien le dire. Dans l'eau, je suis descendu un peu (4-5m maxi) et je ne devinais toujours pas le fond malgré une très bonne visibilité (en se rapprochant de la barrière on voyait le fond à plus de 10 m). J'ai vainement attendu qu'une tortue passe à côté de moi. Toutefois cela valait le coup, sur la barrière, dans les crevasses on a vu plein de choses très belles et puis après la barrière, je me suis laissé tiré par la pirogue avec toujours la tête dans l'eau, j'ai vu les reliefs changer au fur et à mesure et des petits groupes de poissons, des étoiles,... |
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De retour on croise un piroguier qui a acheté cette tortue à un pêcheur (pêche de nuit) 10 000 Ar (4 euros), ils y mangeront à 10 pour le repas de fête du 1er janvier. |
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 | Le spectacle est continu pour qui veut regarder. De retour du dîner, nous observons un bernard-l'ermite devant le bungalow. |
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 | Au revoir la mer... |
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Avons fait le voyage de retour sur 2 jours. Nous nous sommes arrêtés à Ambalavo pour visiter une fabrique de parchemin (mais avons oublié qu'on était le 1er janvier, donc fermée !). On s'est arrêté dans un hôtel malgache (mais référencé par le petit futé). La chambre, très correcte sauf que la chasse d'eau ne fonctionnait pas, que l'eau qui coulait des robinets était jaune et que la douche n'avait pas de pression... par contre le restau, gloups, on a pris une pizza pour avoir quelque chose de bien cuit, Emilien, Rémi et moi avons été malade une bonne partie de la nuit... et le lendemain matin, pas de pain, que des pains au chocolat, bon pas grave qu'on se dit... sauf qu'ils n'avaient de pain au chocolat que le nom... de la pâte très grasse avec un bout de chocolat dedans dégueu...
Bref, on est vite revenu à une autre réalité.
Vincent. |